26 September 2013

Delaying the nuclear free zone in the Pacific

By Nic Maclellan


At the height of the nuclear arms race between the United States and Soviet Union, a treaty to create a South Pacific Nuclear Free Zone, or SPNFZ, was opened for signature on Hiroshima Day, 6 August 1985, at the Pacific Islands Forum meeting in Rarotonga.

Twenty-eight years after it was signed on that day by Australia, New Zealand and island nations, the United States still hasn’t ratified its protocols, in spite of a request from President Barack Obama to the US Senate more than two years ago.

This week, as Forum leaders gather in the Marshall Islands – host to sixty-seven US nuclear tests at Bikini and Enewetak Atolls – the US government eager to keep nuclear issues off the agenda, as it has been since the Treaty was first mooted. Declassified documents from the National Archives of Australia, and US diplomatic cables published by WikiLeaks, highlight longstanding opposition in Canberra and Washington to a comprehensive nuclear-free zone that might hamper US nuclear deployments in the Pacific.

The Forum meeting, and the US Senate’s continued stalling, coincide with on-going concerns that Australia’s decision to sell uranium to India threatens to breach Australian treaty obligations.

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COMMUNIQUÉ SUR LES RÉPARATIONS COLONIALES

Lonelyplanet.com

LA CONVENTION POUR UNE GUADELOUPE NOUVELLE, informe les guadeloupéennes et les guadeloupéens qu'un processus de grande envergure a été lancé en juillet 2013 à TRINIDAD et continué en septembre à ST VINCENT, par les états de notre région au sein de la CARICOM, qui consiste à réclamer à L' ANGLETERRE, LA FRANCE, LES PAYS BAS ET L'ESPAGNE la réparation du préjudice subi par nos peuples suite à l'esclavage , à la colonisation et au génocide des amérindiens les premiers occupants de cette terre .

La CONVENTION approuve , soutient et participe à ce processus qui est une composante du combat pour la souveraineté de nos pays et la dignité de nos peuples. Elle rejoint ainsi l'ensemble des organisations régionales de l' Amérique latine.

Pour les nationalistes de la Guadeloupe , ce processus constitue une formidable opportunité pour que la Guadeloupe devienne enfin un des acteurs de la Caraïbe ce qui n'est pas encore malheureusement le cas. Le comité national guadeloupéen pour les réparations doit à la fois mobiliser autour de ce thème les guadeloupéens et les formations politiques qui militent pour la souveraineté, et surtout solliciter l'adhésion au comité de la Caraïbe afin de participer avec tous les caribéens au renforcement de la communauté Caraïbe au sein des organisations régionales latino américaines et dans le monde.

La réparation du préjudice subi par nos peuples est une nécessité. 

LA DIRECTION POLITIQUE