N-Calédonie: Marine Le Pen appelle ceux qui "rejettent l'indépendance" à s'unir
NOUMEA, 15 mars 2013 (AFP) - Marine Le Pen, la présidente du Front National, a exhorté vendredi à Nouméa les opposants à l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie à se regrouper, en vue du référendum d'autodétermination entre 2014 et 2018.
"Il y a des élections qui vont être fondamentales pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie et il est temps de s'y atteler", a déclaré à la presse Marine Le Pen.
"Il faut tout tenter pour éviter la fragmentation de ceux qui rejettent l'indépendance. Je suis venue porter une réflexion sur le sujet, pour rencontrer les politiques locaux et voir s'il est possible d'envisager quelque chose pour la Nouvelle-Calédonie française", a-t-elle ajouté.
Depuis l'accord de Nouméa (1998), un processus de décolonisation est en cours en Nouvelle-Calédonie, précédant un référendum d'autodétermination qui doit être organisé au cours de la mandature 2014/2018.
Les élections territoriales de 2014, cruciales pour l'avenir politique du Caillou, aiguisent les ambitions, notamment au sein de la droite non-indépendantiste, qui se déchire.
"Je suis convaincue que les élus, qui sont attachés à la France, vont se rendre compte qu'ils ont une mission qui les dépasse et qu'ils ne joueront pas indéfiniment avec le feu", a déclaré Marine Le Pen.
Elle a proposé de créer "une structure électorale de rassemblement", avec une charte comportant "trois ou quatre points incontournables dont le principe de la Nouvelle-Calédonie française".
La présidente du FN a également prôné l'organisation "le plus rapidement possible" du référendum d'autodétermination dont l'issue (contre l'indépendance:ndlr) ne fait, selon elle, "aucun doute".
Marine Le Pen, à Nouméa jusqu'au 20 mars, a indiqué qu'elle consacrerait aussi son séjour à la "restructuration" de l'antenne locale de son parti.
En perte de vitesse depuis 2009, le FN n'a aucun élu territorial et est quasiment absent du débat politique calédonien. Au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen avait toutefois obtenu 11,66% des suffrages.
"Il y a des élections qui vont être fondamentales pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie et il est temps de s'y atteler", a déclaré à la presse Marine Le Pen.
"Il faut tout tenter pour éviter la fragmentation de ceux qui rejettent l'indépendance. Je suis venue porter une réflexion sur le sujet, pour rencontrer les politiques locaux et voir s'il est possible d'envisager quelque chose pour la Nouvelle-Calédonie française", a-t-elle ajouté.
Depuis l'accord de Nouméa (1998), un processus de décolonisation est en cours en Nouvelle-Calédonie, précédant un référendum d'autodétermination qui doit être organisé au cours de la mandature 2014/2018.
Les élections territoriales de 2014, cruciales pour l'avenir politique du Caillou, aiguisent les ambitions, notamment au sein de la droite non-indépendantiste, qui se déchire.
"Je suis convaincue que les élus, qui sont attachés à la France, vont se rendre compte qu'ils ont une mission qui les dépasse et qu'ils ne joueront pas indéfiniment avec le feu", a déclaré Marine Le Pen.
Elle a proposé de créer "une structure électorale de rassemblement", avec une charte comportant "trois ou quatre points incontournables dont le principe de la Nouvelle-Calédonie française".
La présidente du FN a également prôné l'organisation "le plus rapidement possible" du référendum d'autodétermination dont l'issue (contre l'indépendance:ndlr) ne fait, selon elle, "aucun doute".
Marine Le Pen, à Nouméa jusqu'au 20 mars, a indiqué qu'elle consacrerait aussi son séjour à la "restructuration" de l'antenne locale de son parti.
En perte de vitesse depuis 2009, le FN n'a aucun élu territorial et est quasiment absent du débat politique calédonien. Au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen avait toutefois obtenu 11,66% des suffrages.
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